Dans toutes les mers et tous les océans de la planète, il existe des poissons et autres animaux qui tentent de profiter des autres êtres vivants. Dans ce cadre, des interactions biotiques sont mises en place de manière durable ou non. Ces interactions, bénéfiques neutres ou néfastes, peuvent engendrer des coévolutions directes ou indirectes. Il existe toute une gradation des relations, rendant les individus plus ou moins interdépendants, en fonction du degré d'association des organismes impliqués.
Cette interaction directe ou indirecte entre deux espèces n'est profitale que pour une seule espèce, sans nuisance pour l'autre. Leur présence près des grands requins semble plutôt justifiée par les bénéfices qu'il en tire, se nourrissant de rebuts et nageant aisément au sein du flux hydrique de déplacement de son compagnon de route.
Cette interaction directe ou indirecte est profitable entre organismes d'espèces différentes. L’association entre les individus s’installe sans que la relation soit obligatoire, ce qui veut dire que la survie des individus ne dépend pas de cette interaction.
Cette interaction directe durable est de nature antagoniste unilatéralement nuisible à détrimentielle, entre une espèce dénommée parasite et une espèce dénommée hôte. L'espèce nuisible dépend entièrement de son hôte pour vivre.